La politique migratoire du président américain Donald Trump se base actuellement sur la tolérance zéro. En faisant une petite visite sur immigration-usa-actu.com, on constatera que l’ONU décline totalement cette démagogie.
Les points sur la politique de tolérance zéro
La « tolérance zéro » de Washington représente une politique qui incrimine autant les parents migrants que leurs enfants. Pour être plus précis, Donald Trump a ordonné la séparation des enfants des parents qui demandent un asile de manière illégale.
Cette stratégie politique a été approuvée par le ministre de la justice le 7 mai. Jeff Sessions a donc promis de condamner l’immigration illégale et précise une accusation contre les parents, mais les enfants seront également concernés. Ils devront alors comparaître devant un tribunal en vue de séparer de façon systématique les enfants de leurs parents. Leur détention aura donc lieu dans des lieux différents.
La protestation de la tolérance zéro par l’ONU
La politique de tolérance zéro instauré par l’administration Trump a été épinglé par l’Organisation des Nations Unies le mardi 5 juin. Ainsi, le HCDH ou Haut-Commissariat aux droits de l’homme proclame une violation importante des droits de l’enfant. De ce fait, il a de suite ordonné la rétention de la détention de mineurs, recommandé par l’administration américaine. De même pour la criminalisation de l’immigration illégale. Cette demande a été affirmée précisément par le porte-parole du HDCH Ravina Shamdasani.
D’un autre côté, l’ambassadrice américaine Nikki Haley critique de manière très violente l’action de l’organisation. Une intervention qui a précisément eu lieu peu de temps suite aux manifestations recommandant la fin des séparations des familles. Après ces déclarations, un grand nombre de personnes à New York, Washington, Chicago et Los Angeles se sont rassemblés au pied du ministère de la justice le 1er juin 2018.