Les extensions ont la cote auprès de la gent féminine. Jeunes et adultes se ruent vers ces dernières pour avoir les cheveux longs. D’après « Euromonitor International » les femmes africaines dépenseraient plus de 1.1 milliard de dollars pour des produits capillaires incluant les shampoings, lotions et défrisant. Toutefois, la somme d’argent dépensée pour les faux cheveux surpasse ce nombre de loin qui est de 7 milliards de dollars.
Le tissage, une pratique courante chez les femmes afros
L’industrie de la coiffure africaine a beaucoup grandi et évolué. Unilever a désormais un salon à Johannesburg et L’Oréal a également des usines au Kenya et en Afrique du Sud. Cette croissance est due aux nouveaux outils qui n’existaient pas ou qui coûtaient trop cher auparavant. Du fait que les Africaines sont très audacieuses sur le style de la coiffure et n’hésitent pas à faire appliquer les méthodes de rajout de cheveux. Ces dernières dépensent une somme considérable pour les tissages. La plupart admettent que ces derniers sont plus pratiques et avoir une chevelure de sirène a depuis longtemps été leur rêve. La plupart des rajouts vendus sont des fibres synthétiques et vendues en Afrique. Des cheveux naturels sont également sur le marché, mais coûtent plus cher.
Les extensions : plus faciles et plus rapides
Bon nombre de femmes ignorent que les extensions peuvent aussi être adaptées pour les femmes aux cheveux crépus. Il y a différentes sortes d’extensions, dont les extensions, à chaud, à froid ou à clip. L’extension à clip, est la plus en vogue. Beaucoup de femmes les adoptent, car elles sont très faciles à poser et à enlever. Leur traitement est également très simple, ils s’adaptent aux shampoings de cheveux classiques et peuvent être brossés comme les vrais.
En somme, les femmes africaines donnent beaucoup d’importance à leur coiffure. C’est la raison pour laquelle ces dernières n’hésitent pas à y mettre le prix.