Un grand joueur français qui ne rate jamais de faire de mauvais choix. Il décroche néanmoins les 20es places sur le sol américain. L’imprévisible jeune homme a le talent et les moyens de frapper un grand coup et faire mieux que Thomas Levet, le seul golfeur français à se classer parmi les meilleurs aux 20 premières place.
Un miracle français
Victor Dubuisson a su se glisser dans les masters suite à son classement de 28e aux US open et une 9e place au British open et une autre, 7e à l’USPGA Championship suivi d’une dizaine action préméditée sur le parcours géorgien, lui conférant ainsi le surnom de « cactus boy » en sortant en finale deux coups venus d’ailleurs pour s’extirper des cactus. Avec tous ces désastres de choix pour le putting, il sort indemne avec +1 malgré son driving digne d’un essuie-glace.
Une remontée en pic
Après deux tours du Shell Houston Open, c’est l’Américain Andrew Putnam qui prend la tête du denier tournoi avant le Master. Alors qu’il reste sur cinq coups manqués sur ses sept premiers tournois disputés en 2015, le natif de Tacoma a aligné sept birdies sur ses onze derniers trous pour occuper seul le fauteuil de leader au Texas avec une carte de 65 coups. Phil Mickelson, et Austin Cook, auteur de l’autre carte de 65 du jour se démarque à un coup. Deuxième carte sous les 70 pour le Français Victor Dubuisson qui reste solidement installé dans le Top 10 aux côtés de Jordan Spieth et Hunter Mahan notamment, Jamie Donaldson. Avec tous ces totaux de points, le français s’en sort, avec une légère difficulté, sa précieuse place dans les rangs mondiaux.