A l’heure où la croissance n’est pas rendez-vous, les politiques cherchent en vain des solutions. Cette fois, ce n’est pas dans l’augmentation de l’impôt qu’il y a débat, mais plutôt à la fabrication française. En effet, la mondialisation a créée un fossé économique qu’il faut combler pour peut-être un retour à une économie plus stable.
Ainsi, Arnaud Montebourg ne lésine pas sur les mots pour motiver les français à opter du « made in France » :
«?Chacun peut apporter sa pierre à l’édifice, qu’on soit producteur (…) en décidant de produire sur le territoire ou qu’on soit consommateur en faisant attention à ses achats?», a-t-il dit. «?Tous les jours avec sa Carte Bleue, on peut décider de voter chinois, de voter européen (…) ou de voter pour la PME d’à côté?».
De ce point de vue, on comprend bien que Montebourg ne vend pas l’appellation à l’international mais aux français. De plus, il cherche à les responsabiliser face à la crise. Pourquoi? La raison principale est que les exportations internationales ont envahi le marché français.
Il est possible de choisir entre un produit chinois par exemple à bas prix ou un produit de fabrication française très coutant. La différence se joue sur le portefeuille, on le comprend bien. Seulement voilà, un produit « made in France » est de meilleur qualité. Il y a des entreprises comme Vélinéa, qui ont un savoir-faire unique au monde.
Le choix est évidemment cornélien entre argent ou qualité. Cela dit, il est possible de faire la part de choses. Quand on réfléchit bien, on peut facilement opter pour un petit gadget chinois comme une clé usb ou un baladeur alors que quand il s’agit de rénover ou améliorer son habitat on peut confiance à une entreprise française, qui s’engage auprès de ses consommateurs.
Cliquer ici pour plus d’informations sur le « made in France ».